Édition du jeudi 11 avril 2013
Exposition universelle : la candidature française pour 2025 s'étoffe
Lancée en décembre 2010 par le maire de Neuilly-sur-Seine, l’idée de la candidature de la France à l’organisation de l’exposition universelle de 2025 a fait son chemin. Jean-Christophe Fromantin a réuni un club des partenaires fondateurs, qu’il a présenté hier lors d’une conférence de presse en présence de nombreux représentants des membres de ce club. Celui-ci comporte pour le moment l’AMF, huit grandes entreprises et autant d’universités et grandes écoles. Un comité de soutien rassemble de nombreuses personnalités dont des élus (Jacques Pélissard, président de l’AMF, Philippe Laurent, maire de Sceaux et président de Paris Métropole…).
D’ici à 2016, date de dépôt de la candidature au Bureau international des expositions (BEI), plusieurs chantiers doivent être menés à bien. D’abord la définition du thème de l’exposition, qui, selon les mots de Jean-Christophe Fromantin, doit être « universel », « un des grands enjeux du 21e siècle » et « porteur d’innovations, d’espérance et de valeurs ».
Un travail sera ensuite mené sur les territoires avec le choix des collectivités associées au projet car « Paris et le Grand Paris ne seront pas les patrons de l’exposition mais seront les réceptacles de ce que nos villes et villages pourront remonter dans ce cadre d’exposition universelle ». L’exposition réemploiera de façon éphémère les infrastructures du Grand Paris et les monuments existants de la métropole et des grandes villes françaises.
Troisième chantier : le « modèle économique ». « Nous nous fixons l’objectif d’en faire une exposition rentable », a expliqué Jean-Christophe Fromantin. Les bénéfices servant à alimenter un fonds de réhabilitation du patrimoine.
Dès cette année, une mission d’information parlementaire sur l’intérêt de cette candidature devrait être créée. 2015 sera l’année de la mobilisation du grand public et de l’élaboration du dossier de candidature. La sélection du pays organisateur par le BEI est prévue en 2018.
Consulter le site de l’association Expofrance 2025 qui porte le projet.
D’ici à 2016, date de dépôt de la candidature au Bureau international des expositions (BEI), plusieurs chantiers doivent être menés à bien. D’abord la définition du thème de l’exposition, qui, selon les mots de Jean-Christophe Fromantin, doit être « universel », « un des grands enjeux du 21e siècle » et « porteur d’innovations, d’espérance et de valeurs ».
Un travail sera ensuite mené sur les territoires avec le choix des collectivités associées au projet car « Paris et le Grand Paris ne seront pas les patrons de l’exposition mais seront les réceptacles de ce que nos villes et villages pourront remonter dans ce cadre d’exposition universelle ». L’exposition réemploiera de façon éphémère les infrastructures du Grand Paris et les monuments existants de la métropole et des grandes villes françaises.
Troisième chantier : le « modèle économique ». « Nous nous fixons l’objectif d’en faire une exposition rentable », a expliqué Jean-Christophe Fromantin. Les bénéfices servant à alimenter un fonds de réhabilitation du patrimoine.
Dès cette année, une mission d’information parlementaire sur l’intérêt de cette candidature devrait être créée. 2015 sera l’année de la mobilisation du grand public et de l’élaboration du dossier de candidature. La sélection du pays organisateur par le BEI est prévue en 2018.
Consulter le site de l’association Expofrance 2025 qui porte le projet.
Suivez Maire info sur Twitter : @Maireinfo2
S'ABONNER GRATUITEMENT
NOUS ÉCRIRE
DANS L'ÉDITION DU JOUR
Transparence financière : les élus locaux seront aussi concernés
Décentralisation : le premier volet de la réforme devant le Sénat le 27 mai prochain
Les maires seront présents dans les Conférences territoriales de l'action publique
Les députés ont une nouvelle fois voté la réforme des scrutins locaux
Retrouver une édition
Accéder au site